Philippe Vauchel «Cabane, cabane!»

Au beau milieu d’une cabane de visages, une femme, un homme !
Avec des cabanes de questions, de rire, de tendresse et de poésie !
Pour abriter nos vies quand elles s’échappent de nos agendas…
Les joyeux refuges de la confrérie humaine pour tenir en vie La Vie !
Une piste où cabriolent allègrement l’acteur Philippe Vauchel et l’accordéonniste Mathilde Dedeurwaerdere.

Ce spectacle est, avant tout, une expérience à vivre !
Son espace de jeu circulaire, autour duquel sont installés les spectateurs, permet un théâtre d’adresse directe et de vraie proximité. Ce dispositif, telle une piste de cirque, rappellera à certains,  de fameuses  veillées  autour du feu, rangées parmi les souvenirs heureux.

Il est des espaces étranges, à la tombée du soir, habités par des excitations ou des émotions extrêmes, des rires, des chants, des « besoins d’appartenance » mais aussi par de la mélancolie, des confidences intimes … S’y révèle alors une certaine humanité assise pour quelques instants sur le bord du monde …

Cabane, Cabane ! est un partage poétique, mythique, comique et cosmique de toutes les cabanes qui auront abrité nos vies, de la première, le ventre de notre mère à la dernière, notre tombe, en passant par celle de l’enfance dans les bois, celle de notre corps, intime et secrète et toutes nos autres cabanes qui ont jalonné notre existence.

Un spectacle de Philippe Vauchel.
Interprété par Mathilde Dedeurwaerdere et Philippe Vauchel.
Musique : Mathilde Dedeurwaerdere
Mise en scène : Jean-Michel Frère
Une coproduction : Théâtre Nationale 4, Cie Victor B, Centre culturel de Nassogne et Province du Luxembourg.
Avec le soutien du centre culturel de Stavelot et du centre culturel de Wanze.

https://www.walrus.eu/diffusion/cabane-cabane/

Mot du Ventre de la Baleine

Ce spectacle c’est une vie en condensé : on rit, on pleure et hop c’est déjà fini et on n’a rien vu passer…

C’est aussi un peu du luxe car le dispositif circulaire qu’il requiert ne permet d’accueillir une grande jauge de spectateurs : seule une poignée de veinards pourra en profiter ! Qu’on se le dise !